Vous faites pitié. Mais vous êtes des dangers. Alors que tous les syndicats unis, sept Français sur dix, neuf salariés sur dix et 1 à 3 millions de manifestants vous disent « non », et que même des patrons dans l'hôtellerie ou dans le bâtiment ainsi que des artisans vous disent « non », vous disant que c'est une bêtise, vous forcez malgré l'opinion, vous passez sur le corps social. Oui, vous êtes alors un danger pour le pays et pour sa démocratie.