Cette réforme est de surcroît dictée par votre volonté de complaire à la Commission européenne, laquelle souhaite que la France se mette au garde-à-vous et applique les coupes budgétaires qu'elle préconise chaque année, prétendument pour assainir ses finances – évidemment au détriment des Français, qui, toujours, sont les victimes de votre lâcheté et de votre soumission. Une personne née en 1973 aura vu, en douze ans, quatre années de travail supplémentaires ajoutées à sa carrière.
Aujourd'hui, dans l'hémicycle, les alliés du second tour se font désormais face. Nous nous retrouvons avec, d'un côté, un gouvernement qui propose une réforme de casse sociale, aussi inutile qu'injuste – j'y reviendrai – et de l'autre une gauche irresponsable et inconséquente.
Finalement, qui parle à nos compatriotes,…