Nous voilà en train de débattre de cette motion référendaire. Autant vous dire qu'à titre personnel je pense aux Français qui nous ont regardés tout l'après-midi et qui regrettent de voir les bancs de la gauche vides. Après le raffut qu'ils ont provoqué tout à l'heure, nos collègues auraient au moins pu nous honorer de leur présence pour ce débat important.