mais qu'ils « donnent leur adhésion ou la refusent à celui qui la pose ». Très sincèrement, je pense qu'il n'y a pas de mystère : si le président Macron posait une question aux Français, la réponse serait sans doute « non », et alors ses opposants connaîtraient tous un grand moment de plaisir, que nous partagerions d'ailleurs avec eux. Mais il y a une question à laquelle nous n'aurions pas répondu : que faisons-nous pour tous ces petits retraités qui vivent avec des retraites de misère ?