Vous l'annoncez alors que les Français sont étranglés par la vie chère. Ils peinent à payer un plein d'essence, de même que leurs factures de gaz et d'électricité, et ils paient leurs pâtes 10 % plus chères qu'il y a un an. Vous l'annoncez alors que les artisans sont abandonnés, les jeunes précarisés et nos compatriotes ultramarins méprisés.
Notre pays compte toujours 10 millions de pauvres et 4,1 millions de personnes mal logées. Contrairement à ce que laisse croire vos tripatouillages, le chômage ne baisse pas ; vous radiez simplement plus de chômeurs.