Monsieur le ministre, nous ne sommes pas les lieutenants d'un clan. Nous devons notre siège, ici, à tous ceux qui ont placé leurs espoirs en nous. C'est par le peuple, et par lui seul, que nous avons été élus. Pour une fois, Aurore Bergé a raison lorsqu'elle dit : « On ne peut pas avoir une poignée de personnes qui génèrent une pagaille pour des millions de Français. »