Voilà ce qui a conduit le Président de la République et la Première ministre à engager ce moment politique important et à proposer cette réforme des retraites. Je dis « cette » réforme car nous aurions pu faire un autre choix. Nous aurions pu, comme certains le souhaitent ici, faire le choix de l'impôt pour financer les déficits des retraites. Amendement après amendement, l'opposition NUPES a proposé de financer les retraites par 110 milliards d'euros d'impôts supplémentaires, qui assommeraient les Français mais aussi leurs entreprises.