En restaurant l'équilibre de ce système, sans le faire dépendre de financements extérieurs, nous allons au bout de la politique de souveraineté menée par le Président de la République. Si notre système de retraite est notre patrimoine commun, donnons-lui les clefs de son indépendance et de sa longévité !
Je connais le procès en impuissance que l'on fait à la politique. Il n'est pas neuf, ce sentiment d'immobilisme, l'idée que tout se joue et se décide ailleurs. C'est tout l'inverse que nous faisons avec cette réforme : nous choisissons d'agir pour ne pas avoir à agir par défaut plus tard.