Cela a un nom : cela s'appelle une manœuvre, et celle-ci est un peu grosse ! La troisième motion référendaire, comme l'a très bien dit M. de Courson, a été déposée dans les délais. Vous n'avez aucune raison de la rejeter, si ce n'est pour ajouter un nouveau déni démocratique au coup de force que le Gouvernement inflige aux millions de Français qui manifestent contre la réforme.