Je vous rejoins sur la nécessité d'un débat, monsieur le rapporteur. Mais il faut que l'Assemblée nationale puisse aller au-delà, en décidant, par des votes, du contenu du PSN. Je rappelle que 10 milliards d'euros sont versés chaque année à nos agricultrices et agriculteurs – ce que je ne remets absolument pas en cause.