Aujourd'hui, treize TIS sur 412 sont dans une situation où l'évaluation est objectivement impossible : cinq pour des raisons diverses et huit pour des raisons liées à la sécurité et au caractère psychiatrique. Je vous confirme que l'on ne peut pas évaluer un détenu qui met le feu à sa cellule tous les jours. Le QER est un milieu contraint, en dehors de la détention, où la vie est totalement en osmose. Les autres détenus n'auraient pas supporté quelqu'un comme Franck Elong Abé et ils lui auraient « fait la peau ».