On peut se demander si la Russie regrette de ne pas avoir commencé par là. Que se passerait-il dans l'hypothèse où, dans le cadre d'une stratégie de sanctuarisation agressive, un État conduirait une campagne contre les infrastructures d'un autre sans pour autant s'engager dans une campagne au sol ?
Et, comme l'a demandé M. Favennec-Bécot, comment intégrer le spatial dans la préparation à un conflit de haute intensité ?