Je comprends votre intérêt pour l'Acadie. J'ai eu un échange avec mon homologue au Québec, notamment sur le français, qui est une question de politique intérieure dans cette région. Elle m'a parlé de la minorité vivant en Acadie. Je travaille avec elle sur les questions relatives à la langue française, que ce soit dans le cadre de notre relation bilatérale ou dans celui de l'OIF.
Nous n'oublierons pas cette communauté, notamment grâce à la position du Québec ; nous préparons d'ailleurs ensemble le prochain sommet de l'OIF, ce qui pourra nous aider à mettre ce sujet à l'ordre du jour.