Autant je suis inquiet que vous n'ayez pas été mise au courant de cette lettre, autant je suis rassuré par votre engagement à vous pencher sur le sujet. Je ne vous fais aucun reproche car vous ne pouviez pas répondre à une question dont vous n'avez pas été saisie. Maintenant que vous l'êtes, il vous faut discuter de ce problème avec madame Catherine Colonna, parce que cette affaire constitue ce que l'on appelle, dans le langage diplomatique, un « irritant » entre le ministère et nous.