Dans un monde multilingue, ne pas toujours parler notre langue n'est pas le signe d'une négation de celle-ci, ni de notre identité.
Je vous rejoins quant à la nécessité de mener un travail sur ce sujet dans les instances internationales. Comme je l'ai dit à monsieur Taché, nous devons travailler avec les pays francophones pour promouvoir notre langue au sein de ces organisations.