Je ne voudrais pas qu'on interprète mon cri du cœur comme une marque de désintérêt pour le peuple libanais. C'est tout le contraire.
Lors de notre déplacement au Liban, nous avons pu constater les difficultés rencontrées par l'État libanais pour agir. Notre collègue Amélia Lakrafi, qui est la députée de la circonscription, peut le confirmer.
Vous avez tout à fait raison de souligner, madame la secrétaire d'État, que nous assumons des responsabilités concrètes, par exemple dans les domaines de l'enseignement et de la santé, pour aider de manière directe la société civile libanaise. Cette dernière déploie des efforts admirables alors que l'ensemble de la sphère publique est assez profondément défaillante.