Malgré l'absurdité de cette situation, je n'aurai pas, chers collègues macronistes, la morgue et le mépris de classe que vous avez eus jeudi dernier à l'égard des textes du Rassemblement national, et dont vous avez fait preuve ce soir encore. La tentation est pourtant très grande de balayer d'un revers de la main…