Par ailleurs, il y a un sophisme auquel il faut tordre le cou une bonne fois pour toutes. Vous dites, monsieur le ministre délégué, tout comme Mme Rilhac dans l'exposé sommaire de son amendement, que l'instauration d'un uniforme n'a besoin de faire l'objet d'aucune obligation légale, qu'une telle mesure n'est pas nécessaire, qu'il convient de respecter le choix des établissements, qu'imposer un uniforme est déjà possible, bref que la proposition de loi ne sert à rien.