Il vise à supprimer l'article 2 de la proposition de loi. L'accompagnement des ménages dans leur transition vers des véhicules moins émetteurs de polluants doit être maintenu. Les dispositifs existants sont imparfaits, et nous sommes en faveur de leur amélioration, pour tenir compte de la disparité des situations et pour réduire davantage le reste à charge, notamment pour les plus précaires.
Nous invitons le Gouvernement, une fois encore, à prendre la mesure de l'urgence écologique en adoptant un grand plan des mobilités à l'issue des travaux du Conseil d'orientation des infrastructures. Dans le contexte de la crise de l'énergie, il s'agit d'un impératif social mais également d'un impératif sanitaire, nous l'avons suffisamment dit, et donc d'un impératif écologique.