Je ne désespère donc pas de relancer, dans les semaines qui viennent, ce marché confié à l'entreprise Eiffage pour installer des palplanches plutôt que des roches importées. C'est ce que je peux vous dire à ce stade.
S'agissant de la desserte générale de Wallis par bateau, la discussion continue avec la compagnie de M. Saadé. C'est une des contreparties que je lui demande en échange de l'aide qu'il réclame par ailleurs. C'est donc un véritable sujet. Si nous disposons des avions et du port, ce sera déjà pas mal.