Ce n'est pas sur l'argument de la solidarité humaine que nous sommes en désaccord, mais sur le fait qu'un clandestin ayant violé nos lois n'a pas vocation à rester sur le territoire national. Ensuite, on peut toujours discuter du panier de soins pris en charge par l'AME : si les cures en ont été exclues, c'est bien qu'il était trop large. Il y a encore des efforts à faire de ce point de vue, surtout quand on connaît l'état de notre système de santé et les difficultés de prise en charge de personnes qui ne sont pas à l'AME.