Afin de soutenir les éleveurs lorsque leurs troupeaux subissent des attaques, le plus important est d'identifier très rapidement le type de prédateur. L'Office français de la biodiversité (OFB) se déplace et examine les morsures, mais il est très difficile de définir le type d'animal. Il est donc nécessaire d'installer des caméras thermiques et des pièges photographiques. Cela ne coûte pas grand-chose – un fonds de 100 000 euros permettrait de doter la moitié des départements de cinq caméras thermiques – et aiderait vraiment les éleveurs, qui sont en pleine détresse.