L'amendement vise à accroître la contribution de l'État à la Caisse des Français de l'étranger (CFE), qui est une caisse de sécurité sociale autonome. L'État y consacre aujourd'hui un centime d'euro par Français établi à l'étranger et par mois.
Les crédits supplémentaires ont vocation à aider les Français de l'étranger les plus défavorisés à bénéficier d'une sécurité sociale. L'État s'était engagé à financer la moitié du coût de cette mesure mais il en paie moins d'un dixième. Contrainte de pallier la défaillance étatique, la CFE connaît aujourd'hui des difficultés financières.