L'amendement vise à rétablir la suppression de la CVAE, étalée sur deux ans.
Nous sommes persuadés qu'il est important de mener une politique de l'offre. Cela a permis, lors du quinquennat précédent, une baisse significative du chômage, une augmentation des investissements et un accroissement de l'attractivité du pays. Nous devons continuer ainsi, en particulier parce que les entreprises entrent dans une période plus difficile où elles auront besoin de disposer de marges de manœuvre. Un article publié aujourd'hui dans Les Échos montre très clairement que, contrairement à ce qu'on peut entendre à droite et à gauche, le taux net d'imposition des entreprises françaises est l'un des plus élevés en Europe – le deuxième, si je ne me trompe pas.