Alors que nous avons tous déploré, notamment durant les dialogues de Bercy, le fait que les niches fiscales soient trop nombreuses, voilà que nous en créons une – qui plus est, au profit de captives, souvent domiciliées dans les paradis fiscaux ! C'est d'ailleurs la raison pour laquelle le ministre de l'économie et des finances était intervenu en réponse à l'intervention de Mme Valérie Rabault. Cet amendement est très grave, car il favorise l'auto-assurance et crée une niche fiscale coûteuse pour le pays et avantageuse pour de grands groupes.