Nous sommes là parce que, dans ce scandale démocratique, c'est notre travail en commission qui sauve l'honneur. C'est le seul endroit où nous pouvons défendre des amendements importants, ce qui n'est pas rien dès lors qu'ils sont issus de travaux avec des associations ou des syndicats. Ce n'est pas à la commission des finances qu'il faut s'en prendre mais au 49.3.