Madame la Première ministre, votre acharnement a privé la France de l'argent dont elle a tant besoin. Notre école ne tient bon que grâce à la ténacité des équipes éducatives ; notre système judiciaire épuise ceux qui s'efforcent de le faire fonctionner ; notre hôpital s'effondre ; les services publics disparaissent des campagnes, s'éloignant des habitants. S'y ajoute le fait que les investissements en faveur de la transition énergétique sont dérisoires. En dépit de cette situation catastrophique, votre choix consiste à offrir aux grandes entreprises les 6 milliards qui font défaut partout ailleurs !