Des précaires dont vous vous apprêtez à exiger qu'ils remplissent les caisses de l'État, pourtant richissime, et paient la facture de la crise en supportant la réforme de l'assurance chômage ou celle du travail. Je parle de 150 milliards de cadeaux distribués aux entreprises, payés par des gens qui se tuent au boulot. La réforme des retraites, c'est le corbillard après une vie de labeur, pendant que TotalEnergies et d'autres groupes richissimes bénéficient de votre gentillesse.
En définitive, votre gouvernement est celui du désordre et de l'instabilité.