L'ironie est que lorsque le Gouvernement est confronté à ces rejets préalables, il est contraint de faire adopter les textes afin que le pays continue de fonctionner, que les fonctionnaires soient payés, que les entreprises continuent de produire, que les associations continuent d'œuvrer et que les Français soient davantage protégés contre l'inflation qui frappe partout dans le monde. C'est pour tous ceux-là que le Gouvernement choisit de faire aboutir les textes budgétaires, et de dépasser les obstacles de circonstance qui font fi de l'intérêt général. Et nous entendons des cris d'orfraie face au 49.3 !