Je vais commencer par l'amendement de M. Fournier, qui formule la demande la plus importante. Pardon de prendre cet exemple, cher collègue, mais dans le cas d'une parcelle dépourvue d'animaux, on peut difficilement demander un bénéfice pour le bien-être animal. Cet amendement ne marche pas ou, si j'ose dire, ne « vole » pas – tout dépend si l'on parle des animaux à quatre pattes ou de ceux qui portent des ailes.