J'ai été saisi de plusieurs demandes de parole.
Madame Legrain, si vous pouviez éviter de tourner le dos à la tribune de la présidence pour vous livrer à des discussions personnelles, je vous en saurais gré. Faisons en sorte que nos débats se déroulent sans trop de brouhaha. Je dois dire que l'hémicycle était un peu trop bruyant avant la dernière suspension de séance.
Je donne d'abord la parole à M. Pierre Cordier, en le priant d'éviter de claquer des doigts – nous ne sommes pas dans un saloon !