Je voudrais clarifier un point au sujet de l'absence de métrique évoquée par Dominique Potier – avec lequel ce n'est pas la première fois que nous avons certains débats au sujet de la biodiversité. Pour bien expliquer ce qui est en jeu, je voudrais que tout le monde comprenne que c'est d'espèces protégées dont nous parlons ! Nous ne sommes pas en train de parler des surfaces artificialisées. J'ajoute que nous sommes aujourd'hui capables de mesurer le niveau de destruction des espèces protégées, chers collègues. Ce que prévoit l'amendement du Gouvernement, c'est la suppression d'un critère qu'il convient aujourd'hui de satisfaire lorsqu'on risque de détruire ces espèces – qui sont protégées parce qu'en voie de disparition …