Le retrait de cette disposition du premier texte de la loi de finances issu du 49.3 devait illustrer votre prétendue volonté d'écoute. Cette prétendue volonté d'écoute, Bruno Le Maire l'a illustrée en retirant l'amendement, puis Élisabeth Borne en n'intégrant pas cette proposition dans le texte retenu à l'issue du 49.3. Mais cette volonté d'écoute a désormais disparu, puisque la proposition fait maintenant partie du projet de loi. L'écoute des députés disparaît après un mois, mais l'écoute des lobbys – ceux des très grandes entreprises qui sollicitent un tel dispositif –, elle, demeure !