Je souhaiterais également revenir sur la fixation des objectifs des zones d'accélération : sont pris en compte le potentiel, la consommation d'énergie finale, enfin les installations existantes, mais non les projets en cours d'instruction et qui peuvent n'être jamais concrétisés.
Cela donne une idée de l'objectif qu'il faut se fixer et cela permet de définir des zones d'accélération à proportion du territoire. Je rappelle par ailleurs que dans les Hauts-de-France, un dossier sur deux est arrêté pour des raisons liées aux paysages et que, parmi ces dossiers arrêtés, 75 % le sont à cause de l'encerclement. Le sujet n'était peut-être pas pris en compte auparavant, mais il l'est désormais.