Il s'inscrit dans la même logique, celle de réhabiliter l'ABF en lui permettant d'intervenir sur des projets d'implantation d'éoliennes de grande dimension à proximité de monuments historiques ou de sites patrimoniaux. Je rappelle que l'article 1er CA avait été adopté par le Sénat mais supprimé lors des travaux en commission, à l'Assemblée nationale, sous prétexte que les 46 000 monuments historiques que compte notre pays rendraient impossible l'installation d'éoliennes. Or ces monuments sont en grande majorité situés en zones urbaines, notamment dans les métropoles, ce qui, de facto, rend impossible l'installation d'éoliennes. Nous souhaitons préserver nos paysages et nos territoires ruraux, en demandant à l'ABF de conforter l'avis des maires.