Mais prenons garde à bien préciser ce dont nous parlons, car en la matière, l'amalgame n'est jamais très loin, ce qui est regrettable. Je rappelle en effet à celles et ceux qui ont trop souvent tendance à l'oublier que le débat de ce jour porte bien sur les personnes immigrées arrivées récemment sur notre territoire, et non sur ceux de nos concitoyens qui sont issus de vagues migratoires antérieures et qui font désormais partie intégrante – j'insiste sur ce terme – de la communauté nationale.