vous conduisent à des lâchetés successives, au détriment de ceux qui souffrent concrètement et quotidiennement d'une immigration incontrôlée et non intégrée.
Lâcheté quand vous décalez de plusieurs mois l'examen au Parlement de votre projet de loi relatif à l'immigration !
Lâcheté quand, jeudi dernier, vous repoussez nos deux propositions de loi visant à expulser les étrangers délinquants et ceux constituant une menace pour l'ordre public, alors que votre ministre de l'intérieur est favorable à la double peine !
Lâcheté quand, face aux problèmes de recrutement de certains secteurs, vous ne trouvez d'autre réponse que la régularisation massive de clandestins !
Lâcheté quand vous refusez de bloquer les visas, l'aide publique au développement et les transferts d'argent vers les pays qui refusent de reprendre leurs ressortissants illégalement présents sur notre territoire !
Lâcheté quand vous refusez de restreindre l'aide médicale de l'État aux seuls cas graves !
Lâcheté quand vous ne voyez l'immigration que sous le seul prisme de l'asile !
Vous avez une occasion unique – peut-être même la dernière – de reprendre la main sur la politique migratoire de notre pays.