Un ancien ministre de l'intérieur, fondateur du mouvement présidentiel, vous a avertis à deux reprises, mais vous n'écoutez même plus les paroles de bon sens et de courage qui émanent désormais de vos propres rangs.
Avec une vision quasi coloniale, vous continuez à vouloir que les problèmes de l'Afrique se règlent en Occident, en brandissant une vaine culpabilisation de nos sociétés.