C'est d'abord le règlement européen de Dublin, en vertu duquel est rendu responsable du traitement d'une demande d'asile le premier État où arrive le demandeur. Le mécanisme est élémentaire mais inopérant. Les États frontaliers croulent sous les arrivées et peinent à enregistrer la masse des demandes. C'est le cas de la Grèce.