Autant nous estimons que la concertation au niveau communal est nécessaire – elle devrait d'ailleurs associer plus largement les citoyens –, autant nous pensons que l'État doit, par l'intermédiaire du référent préfectoral, intervenir pour que les objectifs soient respectés. À défaut de réponse dans un délai de six mois après la demande du référent préfectoral, nous proposons que celui-ci identifie les zones complémentaires et que cette définition fasse l'objet d'une délibération du conseil régional. Il nous semble en effet que c'est à cet échelon que les objectifs sont fixés.