Notre groupe n'arrive pas à se déterminer. Il reste beaucoup de travail d'ici la séance pour affiner la proposition. Ce qui est clair pour nous, c'est que, si l'échelon intercommunal est le bon pour disposer d'une vue d'ensemble et voir se dessiner les équilibres, il ne faut pas déposséder les communes de l'initiative de la définition des zones – j'entends par là non seulement les maires, mais aussi les conseils municipaux ainsi que les citoyens, par le biais des enquêtes publiques.
Il faut imaginer un dispositif d'allers-retours pour que le document final du référent préfectoral, défini en fonction des objectifs à la fois nationaux et régionaux, suscite l'acceptation tout en étant suffisamment contraignant pour que les énergies renouvelables se développent réellement. Il y a encore du travail…