Je soutiens les propos du rapporteur. La saturation s'apprécie d'une part sous l'aspect paysager, dont l'appréciation est plutôt flottante, et d'autre part de façon plus objective, avec le nombre d'éoliennes raccordées, la puissance développée dans chaque territoire, etc. La prise en compte de ce qui a déjà été réalisé devra être débattue à l'article 3 : il est un peu prématuré de le faire à ce stade du débat.