Nous avons un peu moins avancé sur le second point, en raison d'un enjeu de sécurité lié à l'anticipation des trajets des aéronefs. L'armée, et on peut le comprendre, est peu friande d'un partage trop large d'informations concernant les aéronefs militaires. J'ai saisi mon collègue Sébastien Lecornu : nous allons essayer de trouver des solutions intermédiaires afin de couper la lumière, pour faire simple, sans porter préjudice à des intérêts stratégiques.