C'est ce que nous faisons, de même que sur le nucléaire : la fermeture de quatorze réacteurs que l'on nous attribue était prévue dans la précédente programmation pluriannuelle de l'énergie – en réalité, vous le savez, ces réacteurs ont été prolongés de dix ans. Ce sera à la prochaine PPE de fixer les dates de valeur et la production de chacune de nos énergies, et nous ne confisquerons pas le débat aux parlementaires ni au grand public qui a vocation à se prononcer sur ces questions.
La présente loi a pour objet l'accélération des énergies renouvelables (ENR), qui devaient, selon notre PPE, représenter 23 % de notre production. Nous en sommes à 19 % : nous avons de quoi faire pour rattraper l'écart.