Vous traitez avec une mollesse fougueuse la question du sport santé, dont tout le monde considère pourtant qu'il est un enjeu essentiel en matière de prévention. Vous êtes pris d'une paralysie vibrionnante lorsqu'il s'agit de s'attaquer à l'alcoolisme précoce des jeunes ou à d'autres épidémies, comme celle d'obésité. Il y a une solide léthargie pour remédier à la crise de la psychiatrie publique. C'est avec une modeste grandiloquence que vous traitez la question, pourtant jugée prioritaire, de la prise en charge de l'endométriose. Elle ne bénéficie d'aucun moyen supplémentaire et aucun calendrier n'a été annoncé concernant le plan présenté par le Président de la République.
C'est un pieux mensonge…