Vous avez voué votre vie au service de l'État, refusant le pantouflage, animé par une philosophie de la transparence, de la régulation, de l'ouverture à la jeunesse – par exemple, je m'en souviens, pour des postes qui lui étaient fermés par un dispositif de rente – et par une volonté permanente d'innovation et de réforme.
La CADA est tenue à une transition pour répondre à nos aspirations. Au-delà des citoyens, le droit essentiel de l'accès à l'information est désormais revendiqué par des journalistes, des lanceurs d'alerte, des militants. Ce nouveau type de demandes appelle-t-il une branche dédiée, distincte de celle prévue pour les particuliers ? Compte tenu du temps et du travail qu'il requiert, comment, à moyens constants, empêcher que soient reléguées au second plan les saisines des particuliers, qui n'ont pas les moyens d'exercer la même pression ?
Quel est le taux d'avis favorables émis par la CADA en réponse aux personnes souhaitant informer ou alerter le grand public et faire constater la résistance de l'administration ?