La pression migratoire à Mayotte autorise en permanence à adapter les règles applicables à l'ensemble du territoire national ; le Conseil constitutionnel ne juge pas que ce soit contraire au principe d'égalité. Néanmoins, comme je l'ai plusieurs fois répété depuis ce matin, une telle modification doit être examinée dans le cadre plus général de la révision des protections attachées à certaines catégories d'étrangers.