Je veux m'adresser à nos collègues de la majorité, mais je ne suis pas sûr que cela change grand-chose. En effet, vous avez déjà orienté leur vote, madame la ministre déléguée : je ne doute pas qu'ils suivront l'avis favorable que vous venez d'émettre sur ces amendements de suppression défendus par la NUPES !
Chers collègues de la majorité, c'est une question essentielle qui se pose ; elle relève du bon sens. Il s'agit simplement de dire qu'un étranger qui commet un crime ou un délit sur le territoire de la République n'y a plus sa place. Pour votre part, vous préférez vous ranger du côté de la NUPES, qui manifeste depuis tout à l'heure sa volonté de ne pas débattre.