En effet, nous savons tous quels sont les besoins existants : chaque semaine, nos concitoyens viennent déplorer l'absence de médecins ; des maires jouent les secrétaires médicaux et les mairies reçoivent des dizaines d'appels téléphoniques, toute la journée, pour aider leurs habitants à prendre des rendez-vous. Mais non, dans le texte, rien, pas un mot n'est consacré aux déserts médicaux.