J'ai compris que ce n'était pas tout à fait le cas et que j'étais ici, en réalité, pour dire : « Oui, monsieur le ministre » ; « Vous avez raison, madame la ministre » ; « Bravo, monsieur le ministre » : « Pardon, madame la ministre » ; « Merci, monsieur le ministre ».
J'ai passé en revue ce que j'allais pouvoir dire aujourd'hui, à la tribune, et voici ce qui m'est venu. Pardon d'avoir osé déposer des amendements, non seulement pour défendre des idées et formuler des propositions, mais aussi pour me faire le relais de la colère des personnels soignants que je rencontre dans ma circonscription. Je sais combien cela a contrarié Mme la Première ministre.